Les danses hip-hop
La danse hip-hop distingue, elle aussi, plusieurs disciplines que l’on « classe » en 3 catégories.
1. Les Danses debout
qui comme son nom l’indique, rassemblent tous les styles de danses hip-hop qui se dansent… debout.
Une multitude de styles existent parmi les danses debout. Nous allons citer ici les plus influents, mais il faut savoir qu’il existe à peu près autant de styles de danses que de danseurs hip-hop (c’est à dire énormément) et c’est ce qui fait la richesse de cette culture.
Nous commencerons par les trois mouvement considérés aujourd’hui « Old School » car leur émergence précède les années 80/90.
– Le Locking : style initié par Don Campbell (le fondateur des Lockers) à la fin des années 1960 sur la côte Ouest des Etats-Unis. Le locking décline de nombreuses techniques qui repose sur un travail avec les articulations des bras, des jambes et des poignets.
– Le Popping : initié par Boogaloo Sam (le fondateur des Electric Boogaloo) sur la côte Ouest américaine à la fin des années 1970, le popping fut popularisé par une émission de télévision américaine « Soul Train ». Il consiste en des micro-contractions des muscles qui sont combinés à des déplacements plus ou moins rapides.
La Hype : Née à la fin des années 80, début des années 90, la danse Hype développe un aspect plus chorégraphié et dégage une impression de force par la synchronisation des danseurs. Parfois dite danse de « clip », elle s’inspire de divers influences comme la danse africaine, jazz…
– La House Dance : Elle est née dans les clubs de la côte est des Etats-Unis et s’inspire du locking, du popping, ou du break jusqu’à la salsa et les danses africaines.
- Le Breakingdancing ou Breaking représente la version la plus répandue et médiatisée de la danse hip-hop, celle où, dans l’imaginaire commun, les danseurs « tournent sur la tête ». Les danseurs de cette discipline (B-boys et B-girls) exécutent des figurent acrobatiques au sol.
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